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P R E S S E

RECENTES

 

THESEE (TCE VIENNE BRUXELLES 2023)

 

Guilhem Worms, en basse vibrante et pittoresque livre un truculent Arcas, soulignant avec élégance les ambigüités tragi-comiques d’un personnage pragmatique, tour-à-tour frondeur ou couard, alternant les registres du raffinement consommé ou de l’humour persifleur

 

Resmusica 

tandis que les graves de la voix de Guilhem Worms (Aracas et Mars) sont toujours aussi magnifiques à l’oreille

Forum Opera 

 

La voix de basse de Guilhem Worms impose le personnage de Mars au prologue dans une projection assurée, avec des résonances amples impressionnantes. Sans perdre cette prestance, il incarne Arcas avec une certaine bonhomie, assumant de se faire manipuler par Cléone avec le sourire. 

 

Olyrix 

 

 

TRAVIATA (Capitole, Toulouse 2023 ) 

 

Guilhem Worms fait sonner sa voix basse bien projetée pour donner corps au Marquis d’Obigny. 

 

Olyrix

 

Le Marquis d’Obigny est interprété par Guilhem Worms d’une large voix de basse, avec une présence visible notable

 

Olyrix 

DUVAL (Versailles 2023)

 

En Zoroastre et en Numapire, Guilhem Worms impressionne : la voix est puissante et bien timbrée, lui permettant d’imposer son autorité dans ces deux rôles, notamment lors de la fureur de Numapire, d’une virtuosité redoutable, assurée de manière vraiment saisissante.

 

Forum Opera 

 

CARMEN (Bastille 2023)

 

Guilhem Worms qui campe un Zuniga  à la voix sonore et bien projetée et au jeu d’acteur convaincant.

 

Forum Opera 

 

Les rôles secondaires n’ont heureusement pas changé de titulaire, à l’exception de l’excellent Zuniga de Guilhem Worms

 

Concertonet

 

Guilhem Worms’s Zuniga is extremely compelling scenically

 

Operawire

 

LA BOHEME (Capitole, Toulouse 2022) 

 

Guilhem Worms incarne Colline avec beaucoup de présence, physique, et surtout vocale. Sa voix de baryton-basse sonore, sombre et profonde, de belle étendue assume plus que pleinement ce rôle de philosophe érudit et de commentateur ironique. Il apporte au quatuor des amis une assise sonore bienvenue. Ses couleurs émouvantes très creusées font de l'air d’adieu au vieux manteau, qu’il s’apprête à vendre pour aider Mimi, une saisissante marche funèbre.

 

Olyrix 

 

 

Guilhem Worms en Colline marque également les esprits lors de sa scène aussi fugace qu’attendrissante, « Vecchia zimarra », par sa voix profonde et sa diction parfaitement maîtrisée. 

 

Resmusica

 

Leçon de ténèbres (Versailles 2022)

 

La voix puissante du baryton-basse, Guilhem Worms, introduit le concert a cappella dans une impressionnante démonstration de force vocale mais aussi de magistral maniement technique. Bien que sa prononciation du texte latin soit un peu trop renforcée dans certaines consonnes qui rendent le son plus dur, le chant de ce jeune artiste est ductile et expressif, riche en harmoniques et bien soutenu par une tenue ferme du souffle, d'autant plus qu'il fait preuve de rigueur dans le phrasé musical et d'agilités dans les pièces d'ensemble.

 

Olyrix 

 

 

FAUST (Bastille 2022)

 

Guilhem Worms tire pleinement parti de ses petites parties en Wagner, aussi bien sur le plan scénique que vocal, avec un investissement et un impact égalant ceux des premiers rôles (notamment la qualité de phrasé et la riche couleur du timbre).

 

Olyrix 

 

tandis que Guilhem Worms livre au début un Wagner qu’on aurait aimé entendre dans une plus longue chanson à boire.

 

Resmusica 

 

Dans le rôle de Wagner, Guilhem Worms n’est, certes, pas très présent, mais, comme à son habitude, il ne laisse pas passer l’occasion de se faire remarquer par sa présence physique comme par la beauté de son timbre de baryton-basse.

 

Toute la culture

 

Guilhem Worms pleinement efficace vocalement et scéniquement en Wagner

 

Première loge 

 

Guilhem Worms et Florian Sempey s’imposent en incarnant Valentin et Wagner de façon virile et convaincante. 

 

Sceneweb 

 

Enfin, le beau timbre de Guilhem Worms et sa Chanson du Rat nous font regretter que son rôle soit si court.

 

Operaphile 

 

 

le Wagner de Guilhem Worms complète idéalement ce casting de très haut niveau.

 

Asopera

 

 

Héroïnes (Paris 2023)

 

C’est Guilhem Worms qui ouvre le concert avec une pièce évoquant, quelque cent ans après Monteverdi, la mort de Clorinde tuée par le chevalier Tancrède. L’œuvre, très contrastée, permet au baryton-basse d’exprimer un large panel d’émotions et de briller aussi bien dans le registre de la déclamation grave que dans celui de la plainte (très beau dialogue avec le violon de Roxana Rastegar dans « La clarté du jour t’est ravie »), l’extrême douceur (superbe « Sans toi, tout me devient affreux » murmuré a capella) ou la véhémence de l’exhortation finale : « Hâtons-nous, vengeons-nous ! ». Les autres interventions de Guilhem Worms confirmeront l’excellente impression laissée par ce Tombeau de Clorinde en termes de beauté du timbre, richement coloré sur tout l’ambitus, ou encore de clarté dans la diction. Pourtant, c’est peut-être dans « Une fillette de quinze ans », composé par une main anonyme et narrant les amours d’une adolescente pour un homme qu’on lui interdit d’aimer (lequel homme finit par partir aux Amériques) que Guilhem Worms s’est montré le plus émouvant : dans ces couplets d’une écriture toute simple, le chanteur, accompagné par le théorbe sobre de  Benjamin Narvey, retrouve la poésie et l’émotion à la fois graves et naïves des chansons d’inspiration populaire…

 

Première loge

ARCHIVES

 

FLÛTE ENCHANTEE, Mozart, Festival de Beaune (Juillet 21)

Le baryton basse Guilhem Worms s'impose avec pertinence dans le rôle de l'Orateur. Il en traduit avec aisance et force toute la singularité profonde. Sa voix ne cesse de se peaufiner et de s'établir pleinement.

Olyrix

Guilhem Worms est un orateur de luxe, son timbre sombre conférant toute l'autorité et la majesté requise par le personnage.
Premiere Loge

Guilhem Worms, Der Sprecher, remplit sa mission avec conviction, la voix est sonore et l'autorité manifeste.
ForumOpera 

Compte rendu du Récital "La Dame de mes Songes" (2020)

En entier sur : Première Loge

Extrait : "Ce concert confirme l’excellente impression laissée par Guilhem Worms lors de son récital parisien « Mozart et Salieri » du 13 décembre 2019 : le baryton-basse français semble aujourd’hui en pleine possession de ses moyens. La voix est d’une ductilité, d’une souplesse admirables, au point de paraître malléable à volonté, sans rien perdre de son velours et de son pouvoir de séduction jusqu’aux deux extrêmes de la tessiture. Sa maîtrise technique permet au chanteur une impeccable virtuosité (les arabesques vocales de la Nana de Sevilla de Lorca sont dessinées avec précision et sensualité), une très belle palette de nuances, des raffinements dans l’intensité et la variété des couleurs vraiment superbes, du forte le plus éclatant au plus doux pianissimo, tel celui qui clôt la saisissante « Chanson de la mort » de Don Quichotte de Jacques Ibert."

Le Barbier de Séville, Opéra de Tours Janvier 2020

Le Basilio de Guilhem Worms promet énormément dès son entrée : la voix est superbement placée, le timbre noir sans être artificiellement assombri, un méchant aussi net qu’impressionnant.

https://www.forumopera.com

Le lunaire Basilio, bien terrestre cependant lorsqu’il est question d’argent, est incarné par Guilhem Worms, qui est doté d’une voix de basse extrêmement longue, claire, déliée, d’un volume sonore impressionnant. Son grand air de la Calomnie se déploie à l'image de toute sa prestation, dans un engagement théâtral entier (et hilarant pour le public).

https://www.olyrix.com

Guilhem Worms joue de sa longue silhouette pour conférer à Basilio un aspect tantôt drôle, tantôt inquiétant. Vocalement, son air de la Calomnie est superbement maîtrisé, de l’insinuation perfide de l’ « auretta assai gentile » à l’éclat du « colpo di cannone »,  du grave profond de « calpestato » à l’aigu éclatant de « va a crepar » ! Il remporte auprès du public un très grand succès.

http://premiere-loge.fr

Guilhem Worms (Basilio) lui aussi, un habitué de l'opéra de Tours, qui avait joué le rôle de « Gottfriend» dans les fées du Rhin en 2018 et qui là, donnera le frisson avec son interprétation de l'air de la Calomnie.

https://www.info-tours.fr

au Basilio de la belle basse Guilhem Worms, chanteur et acteur accompli, met en joie cet ébouriffant Barbier.

https://www.lanouvellerepublique.fr

CARMEN, Bizet, Opera National du Rhin (Janvier 22)

On peut remarquer l'excellent Zuniga de Guilhem Worms, à la voix remarquablement émise et projetée.

Toutelaculture

LES GENIES, Mademoiselle DuvalFESTIVAL DE SABLE (Août 21)

Guilhem Worms affiche une voix de Baryton Basse à la large étendue. Le timbre est puissant avec des graves imposants qui conviennent pleinement pour interpréter aussi bien les personnages de Zoroastre que de Numapire criant vengeance par le feu.

Olyrix

TOSCA , Puccini, Opéra de Paris // Bastille (Juin 2021)

Doté d'une voix sonore qui capte d'emblée l'attention, Guilhem Worms est un Angelotti convaincant.

Forumopera

Les comprimai ne déméritent pas, sous la baguette vigoureuse de Carlo Montanaro. Guilhem Worms fait valoir la déchéance et la vulnérabilité d'un Angelotti en fuite.

Toutelaculture

tandis que Guilhem Worms est un Angelotti idéal et incontestable.

OperaOnline

Guilhem Worms prête à Angelotti sa haute stature, sa voix bien assise et ses graves majestueux.

Olyrix

Yvonne, Princesse de Bourgogne, Opéra de Paris (Mars 2020)

On notera également la belle impression de l'Innocent de Guilhem Worms, dont la voix de basse exprime douleur et frustration

http://wanderersite.com

une mention spéciale à Guilhem Worms, qui fait ici ses débuts à l’Opéra de Paris, et dont la présence vocale et scénique donne un très beau relief au rôle de l’Innocent 

http://premiere-loge.

« Faisant avec cette production ses débuts à l'Opéra de Paris, Guilhem Worms se saisit pleinement du rôle court mais central de l'Innocent. Se révoltant contre l'injustice, lui qui aime véritablement Yvonne est la voix de la raison (la voix raisonnante et résonnante de son baryton-basse) offrant un moment de vérité et de beauté dans ce monde cruel. Même dans l'intensité d'accents fermes et riches, la ligne vocale sonne souple et racée, le phrasé lié. D'autant qu'il offre une incarnation en legato également, un personnage progressivement envahi par la jalousie et la noirceur, repoussé par Yvonne parce qu'elle aime le cruel Prince. »

https://www.olyrix.com

Récital Mozart et Salieri, Mairie du 11e à Paris (Décembre 2019)

« Il y a chez Guilhem Worms une forme de spontanéité dans le chant, de 

plaisir à pratiquer son art, de rayonnement, qui lui donnent auprès du 

public un capital sympathie précieux » 

« la voix possède toujours ce grain personnel, la projection est toujours 

aussi aisée et efficace, la capacité à incarner les personnages est intacte…

des aigus sonores et glorieux et des graves profonds et bien timbrés…avec 

un subtil jeu sur le clair-obscur, la sollicitation de nuances piano ou 

pianissimo toujours très bienvenues…et un legato porté par un souffle 

parfaitement contrôlé dans l’air de La Flûte, ou encore dans le second 

monologue de Salieri »

http://www.premiere-loge.fr

Don Giovanni, Opéra de Saint Étienne (Novembre 2019)

Avec Guilhem Worms, excellent comédien, l’aspect poltron de Leporello est très accentué ; la voix souple, au timbre clair mais séduisant, est en harmonie avec la caractérisation du rôle.

https://www.opera-online.com

 

Le valet Leporello est un nouveau succès pour le baryton-basse Guilhem Worms, à son meilleur pour l’air du pardon, Ah pietà, signori miei.

http://www.anaclase.com

Malgré sa jeunesse, le duo semble parfaitement rodé, s’adaptant au mieux à la vision singulière de la mise en scène, comme à celle de la direction musicale.

Leporello, Guilhem Worms, dont c’est la prise de rôle, minimisant l’aspect bouffe de son personnage, pour en révéler une humanité sensible et naturelle. Le jeu théâtral est sûr, sans pitrerie donc mais avec une véritable désinvolture propre à la jeunesse de notre temps ; moderne en somme. La puissance de sa superbe voix profonde ne faiblit à aucun instant, dévoilant son caractère sur l’ensemble de l’ambitus.

https://www.resmusica.com

Avec Guilhem Worms, excellent comédien, l’aspect poltron de Leporello est très accentué ; la voix souple, au timbre claire mais séduisant, est en harmonie avec la caractérisation du rôle. 

https://www.opera-online.com

Il a la désinvolture cynique, formant avec son valet Leporello, l’excellent Guilhem Worms, un couple étrange. Comme des jumeaux nés de Janus, en perfecto et en jeans.

https://www.leprogres.fr
 

En Leporello, Guilhem Worms se distingue par un sens de la théâtralité et par son entière présence vocale, sa voix de baryton-basse prenant d’autant plus de relief à mesure qu’elle se frotte au bas de la portée.

https://www.olyrix.com

Les Fées du Rhin, Opéra de Tours (Septembre 2018)

"Le jeune Guilhem Worms est certainement un nom à retenir, il conduit sa voix très intelligemment et nous offre une belle prestation scénique."

https://www.olyrix.com

"Le rôle de Gottfried, auquel Guilhem Worms donne présence et profondeur"

https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/opera-d-offenbach-drole-d-effet

"Un solide Guilhem Worms au verbe plein autorité"

http://www.diapason.com

"Guilhem Worms, l’amoureux altruiste, confère au rôle de Gottfried une puissance inattendue, renforcée par un timbre soyeux, des graves impressionnants et une diction remarquable. (On reste d’ailleurs éblouis par le trio masculin du second acte.) "

http://odb-opera.com

"Grimé en Pope (?), le jeune baryton-basse français Guilhem Worms (Gottfried) transforme ce rôle sacrifié d’amant éconduit en quasi premier plan tant chacune de ses interventions marquent les esprits, grâce à une voix superbement timbrée et de magnifiques graves."

https://www.opera-online.com/

"Guilhem Worms en Gottfried (impeccable)"

http://www.classiquenews.com

"Guilhem Worms n’est pas en reste, les moirures de son timbre grave rendent émouvant son personnage d’amoureux transi que le metteur en scène a transformé en homme d’église."

https://www.forumopera.com

"Je retiendrai aussi la prestation de Guilhem Worms, qui se retrouve jeté à terre un nombre incalculable de fois, sans que cela n'altère en rien sa prestation vocale."

https://lecture-spectacle.blogspot.com

"Der balsamisch singende Bassist Guilhem Worms besticht als Gottfried in Diktion und kultiviertem Wohlklang. Dass der Jäger zum frommen Pastor mutiert, bleibt so fraglich wie Vieles in dieser unsinnigen Inszenierung"

https://www.nmz.de/online

"C’est tout particulièrement vrai pour Guilhem Worms (Gottfried), dont chacune des interventions est un régal. Son timbre splendide, tout autant que la sûreté et la largeur d’émission, lui permettent de tenir son rôle avec beaucoup de conviction."

http://www.concertonet.com

 

Petite Messe Solennelle, Rossini/ l'Opéra de Bordeaux (Mars 2018)

"Côté messieurs, Guilhem Worms projette une voix saine, dont le timbre personnel attire l’oreille. Le large ambitus de sa partie est assumé, des graves profonds de voluntatis dans « Et in terra pax » aux aigus de Jesus Christe dans le « Quoniam ». Par ailleurs, la physionomie du chanteur présente un aspect lunaire qui semble le prédisposer, si les espoirs qu’on peut légitimement placer en lui se confirment, au rôle de Don Quichotte ! Un chanteur à suivre en tout cas, et qu’on aura plaisir à retrouver à Tours en septembre dans le rôle de Gottfried dans Les Fées du Rhin d’Offenbach, récemment redécouvertes à Budapest."   Olyrix

Ensemble Il Caravaggio au Festival de Sablé (Août 2017)

"Forts d’une projection sans faille, les deux jeunes chanteurs se révèlent d’une belle prestance tout au long de leur prestation :  (.......) alors que Guilhem Worms porte les soupirs amoureux de Léandre et les facéties de Carnaval avec justesse et une formidable ardeur, faisant même sursauter certaines spectatrices lorsqu’il déambule dans le public paré de son masque chinois. Les belles basses en fin de phrases du baryton-basse dans "L’hyver a beau s’armer d’aquilons furieux" (Carnaval de Venise) répondent aux savoureuses vocalises de la mezzo-soprano Anna Reinhold dans la Cantate Médée de Clérambault..." ResMusica

Prix de Master au CNSMDP (Juin 2017)

"De cette première journée, on retiendra les impressionnants moyens de la basse Guilhem Worms" ForumOpera

Opéra "Il Matrimonio Segreto" (Mars 2017)   Mise en scène : Cécile Roussat et Julien Lubek  Direction : Patrick Davin

"Guilhem Worms prête sa belle voix de basse ample et résonante au personnage de Geronimo. La truculence de ce rôle bouffe arborant une bosse, gesticulant maladroitement, ne se séparant jamais de son coffre plein d’or, tel un personnage de la Commedia dell'arte, lui sied parfaitement."   Olyrix

Spectacle "Aux Enfants qui s'aiment" (Mars 2016)   Mise en scène : Vincent Vittoz
  Direction musicale : Charlotte Bonneu


"Guilhem Worms est une véritable basse noble, aux appuis profonds : contrairement à beaucoup de ses collègues aux graves bien dotés, sa voix ne repose pas sur son beau naturel, et reste émise bien dans le masque, ce qui lui autorise toutes sortes d'audaces (chant en mode métallique / non métallique, par exemple, selon la nuance voulue). Voix exceptionnelle, maîtrisée en profondeur, et artiste sensible, capable d'adapter (ce qui est particulièrement rare et difficile !) son timbre au style et à l'expression. Même sans considérer la grande pénurie de son type vocal, il ira loin."      Operacritiques

Récital Révélations Classiques aux Invalides (Décembre 2019)

Guilhem Worms, c’est une voix que l’on connaît bien maintenant (une voix au grain personnel, aux beaux graves chaleureux, à la projection facile), mais c’est aussi une personnalité, un art d’incarner les personnages par l’expression, l’attention portée aux mots, la physionomie. Un regard sombre suffit à « diaboliser » les interprétations de Méphisto ou du Kaspar de Weber, un sourire enjôleur à incarner le « Burlador de Sevilla ». Les morceaux retenus permettent de suggérer la diversité des talents vocaux du chanteur, tout autant à son aise dans les éclats de rire sarcastiques de Kaspar (sauf erreur, Guilhem Worms interprétait pour la première fois cet air redoutable) que dans le discret lyrisme Schubertien (Ständchen) ou la tendre mélodie de mon génie mon ange mon amie (Tchaïkovski) - deux pièces dans lesquelles la ligne de chant du baryton-basse est apparue extrêmement soignée.

http://premiere-loge.fr/
 

Guilhem Worms déploie un somptueux timbre de basse dans un éventail de styles tout aussi varié : belle interprétation d’une mélodie de Tchaïkovski, élégance et gravité pour le « Ständchen » de Schubert, fougue adéquate pour l’air de Caspar du Freischütz

https://www.forumopera.com

 

Cadmus et Hermione, Opéra de Versailles (Décembre 2019)
Les deux rôles de Jupiter et du Grand Sacrificateur étaient tenus par Guilhem Worms qui dans ces rôles solennels fit résonner son beau timbre de basse profonde.

http://www.baroquiades.com


Guilhem Worms doit camper Le Grand Sacrificateur toujours sans décor, accessoire ni artifice et dans un plateau vidé de ses solistes : il prend le parti de la sobriété protocolaire, la posture droite comme la voix, ample et roide. L'assise et le volume de son invocation emportent toutefois le chœur dans un accent léger et chantant avant qu'il n'invoque le Dieu Mars. 

Http://www.olyrix.com

Mérite une mention particulière le merveilleux baryton-basse de Guilhem Worms en Le Grand Sacrificateur et Jupiter : une voix du timbre exquis évocateur des sinuosités et stries du bois, pliant et souple

https://toutelaculture.com

Guilhem Worms manifeste en grand sacrificateur une majesté et une autorité impressionnantes

https://www.forumopera.com

Le timbre profond de Guilhem Worms et sa diction incisive conviennent aussi bien à Jupiter qu’au Grand Sacrificateur (superbe invocation à Mars à l’acte III !).

https://bachtrack.com

Stabat mater, Dvorak, Opéra de Bordeaux (Novembre 2018)

"Quant à Guilhem Worms, au timbre chaud et profond, il se distingue par des interventions d’une belle expressivité et d’une humanité chaleureuse."

https://www.olyrix.com/

 

Requiem de Mozart, Atelier lyrique de Tourcoing (Juin2018)

"La basse Guilhem Worms déploie pour sa part une voix bien projetée, à l’élocution travaillée (« Benedictus qui venit ») et d’une belle amplitude entre des médiums très chantés et des graves grondants, pris au fond de la gorge et chantés avec aisance. Bien soutenu par des violoncelles et des contrebasses investies, le son est d’une belle rondeur."
https://www.olyrix.com/

Anna Bolena, Opéra de Bordeaux (Novembre 2018)

"Bien chantants et percutants, le Lord Rochefort de Guilhem Worms /.../ font mieux que ne pas démériter face à pareils partenaires, ils savent s’imposer et capter l’attention en seulement quelques phrases"

http://www.classiquenews.com

"la superbe voix de Guilhem Worms complète de belle façon la distribution"

http://toutelaculture.com

"Guilhem Worms éblouit par son superbe bronze, magnifiquement conduit, dans le rôle de Rochefort."

https://www.resmusica.com

 

Un barbier, Théâtre de l'Odeon, Marseille (Janvier 2018)

"vocalement Guilhem Worms est remarquable, voix chaude et profonde pour un bel air de la calomnie" Destimed

L'Europe Galante, Konzerthaus de Vienne (Janvier 2018)

"Bis Rossini geht das Repertoire des Bassisten Guilhen Worms der als „Dom Carlos“ der Gegenspieler von Dom Pedro und als „Le Chef de Bastangis“ (Haremswächter) für Roxane und Zaide. Eine nicht allzu schwarze, aber schöne Stimme, die sehr flexibel geführt ist." Der neue merker

Le Barbier de Séville, Théâtre des Champs Elysées (Déc.2017)

"Guilhem Worms, une étoile montante bien connue des amoureux de nouveaux talents, enchante les spectateurs avec sa voix de basse-baryton d’une rare subtilité, mais aussi avec sa silhouette longiligne qui convient parfaitement à l’image collective de Basilio, personnage renforcé par ses expressions physionomiques soigneusement étudiés. " Toute la culture

"En Basilio de commedia dell’arte Guilhem Worms fait exploser ses graves de baryton basse" Webtheatre

"Ce n’est pas un hasard si nous avons gardé Guilhem Worms pour la fin.  Diplômé depuis peu du CNSM de Paris, cette basse française, indéniablement douée, est la meilleure illustration de la démarche louable du Théâtre des Champs-Elysées : présenter au public des jeunes chanteurs dont le talent prometteur annonce de belles carrières. Mission accomplie." ForumOpera

"Pour Don Basilio, égalité entre Robert Gleadow (distribution I) et Guilhem Worms (distribution II), qui impriment tous les deux au maître de musique de Rosina le côté ridicule et légèrement menaçant qui sied au personnage. " Telerama

"Pablo Ruiz en Bartolo et Guilhem Worms en Basilio, sont à la hauteur de leur personnage." La lettre du musicien

"On n'en a pas moins repéré avec intérêt la voix de basse du jeune Guilhem Worms, de toute évidence à suivre." PressReader

"Guilhem Worms fait montre de qualités vocales et techniques impressionnantes, très prometteuses. " Operaphile

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